Georges Brassens - «Les amoureux des bancs publics» (1952) É um dos autores mais inspirados da canção francesa e esta canção uma das minhas preferidas.
Já não se vêem namorados nos bancos em Lisboa. Por aqui também se vê, como a vida mudou e que esta canção já tem 56 anos. Só para recordar:
LES AMOUREUX DES BANCS PUBLICS
Les gens qui voient de travers Pensent que les bancs verts Qu'on voit sur les trottoirs Sont faits pour les impotents ou les ventripotents Mais c'est une absurdité Car à la vérité Ils sont là c'est notoire Pour accueillir quelque temps les amours débutants
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnêtes Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathétiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Ils se tiennent par la main Parlent du lendemain Du papier bleu d'azur Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher Ils se voient déjà doucement Ell' cousant, lui fumant Dans un bien-être sûr Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnêtes Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathétiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand la saint' famill' machin Croise sur son chemin Deux de ces malappris Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux N'empêch' que tout' la famille Le pèr', la mèr', la fille Le fils, le Saint Esprit Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnêtes Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathétiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand les mois auront passé Quand seront apaisés Leurs beaux rêves flambants Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds Ils s'apercevront émus Qu' c'est au hasard des rues Sur un d'ces fameux bancs Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'fouttant pas mal du regard oblique Des passants honnêtes Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics Bancs publics, bancs publics En s'disant des "Je t'aime" pathétiques Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Esqueci-me de dizer que também gosto da música que ele fez para um poema de Aragon "Il n'y a pas d'amour heureux", também cantada pelo Jean Ferrat e pela Françoise Hardy. Pelo menos por estes dois.
Gosto Brassens. Já não ouvia há muito tempo.
ResponderEliminarSó conheço algumas músicas...
A.R.
Já não se vêem namorados nos bancos em Lisboa. Por aqui também se vê, como a vida mudou e que esta canção já tem 56 anos.
ResponderEliminarSó para recordar:
LES AMOUREUX DES BANCS PUBLICS
Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Ils se tiennent par la main
Parlent du lendemain
Du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement
Ell' cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûr
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand la saint' famill' machin
Croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêch' que tout' la famille
Le pèr', la mèr', la fille
Le fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
GEORGES BRASSENS
Esqueci-me de dizer que também gosto da música que ele fez para um poema de Aragon "Il n'y a pas d'amour heureux", também cantada pelo Jean Ferrat e pela Françoise Hardy. Pelo menos por estes dois.
ResponderEliminar