«Mais pourquoi déprécier le travail, qui sembre devenu, dans l'opinion générale, quelque chose de méprisant, de néfaste? On lui oppose les loisirs, les vacances... Dans le travail, il y a une dimension très importante: les rélations humaines. Toutes les personnes sincères, lorsqu'elles partent à la retraite, regrette de perdre cette densité de rapports humains. Sans le travail, il y a le risque de crever la solitude. Je dirais donc aux jeunes de revaloriser cette notion de travail, d'artisanat, d'échange avec les autres. Je leur dirais aussi de ne pas oublier que le monde est fait d'êtres humains.»
Maurice Béjart – L’esprit danse / entretiens avec René Zahnd. Lausanne: La Bibliothèque des Arts, 2001, p. 183
Maurice Béjart – L’esprit danse / entretiens avec René Zahnd. Lausanne: La Bibliothèque des Arts, 2001, p. 183
"Sans le travail, il y a le risque de crever la solitude."
ResponderEliminarPalavras de grande sabedoria.
ResponderEliminarEmbora sem o dramatismo da solidão, nem a submissão fervorosa e asiática do trabalho (até porque o ócio tem enormes virtualidades positivas) MB tem a minha inteira concordância.
Essa «submissão fervorosa e asiática do trabalho» parece-me mais escravidão.
ResponderEliminarAté porque os ócios os trazem ideias. Encontro imensas soluções de trabalho enquanto ando.
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