Umas pinturas um bocado apirosadas:
Émile Vernon - A apanha das cerejas
Émile Vernon - Debaixo da cerejeira
La Cueillette des Cerises
Espiègle! j’ai bien vu tout ce que vous faisiez,
Ce matin, dans le champ planté de cerisiers
Où seule vous étiez, nu-tête, en robe blanche.
Caché par le taillis, j’observais. Une branche,
Lourde sous les fruits mûrs, vous barrait le chemin
Et se trouvait à la hauteur de votre main.
Or, vous avez cueilli des cerises vermeilles,
Coquette! et les avez mises à vos oreilles,
Tandis qu’un vent léger dans vos boucles jouait.
Alors, vous asseyant pour cueillir un bleuet
Dans l’herbe, et puis un autre, et puis un autre encore,
Vous les avez piqués dans vos cheveux d’aurore;
Et, les bras recourbés sur votre front fleuri,
Assise dans le vert gazon, vous avez ri;
Et vos joyeuses dents jetaient une étincelle.
Mais pendant ce temps-là, ma belle demoiselle,
Un seul témoin, qui vous gardera le secret,
Tout heureux de vous voir heureuse, comparait,
Sur votre frais visage animé par les brises,
Vos regards aux bleuets, vos lèvres aux cerises.
François Coppée
Digamos, por maldade, que é o pré-rafaelita quitche...
ResponderEliminarBoa noite!
O fado é lindo e é uma das novas vozes do fado de que gosto muito.
ResponderEliminarAs pinturas acho-as giras, mas não em qualquer local; imagino-as por exemplo, num jardim de Inverno, com muitas plantas e mesa e cadeiras de ferro.
Boa noite e boa semana!
Completamente, APS!
ResponderEliminarAinda bem que gosta do Gonçalo Salgueiro, Isabel.
Bom dia!