«Je reviens à la langue parlée.
Croyez-vous que notre littérature, et singulièrement notre poésie, ne pâtisse
pas de notre négligence dans l’éducation de la parole? […] Cependant qu’on exige
le respect de la partie absurde de notre langage, qui est sa partie
ortographique, on tolère la falsification la plus barbare de la partie
phonétique, c’est-à-dire la langue vivante…»
Paul Valéry
Cit. in Fabrice Luchini – Comédie française: Ça a débuté comme ça… Paris: J’ai Lu, 2017, p.
24.
Creio que Valéry, hoje em dia, era capaz de não fazer distinção tão marcada entre o que se escreve e o que se fala (com raras excepções)..:-(
ResponderEliminarNão faço a mínima ideia do que ele escreveria hoje sobre o assunto.
ResponderEliminarBom dia!