Depois de Spinoza, estou a ler uma biografia de Clemenceau, escrita por Françoise Giroud.
Em 1880, este político francês, considerado um dos maiores oradores de sempre, fundou o jornal La Justice.
N.º 1, 16 Jan. 1880
10, Faubourg Montmartre
«La rédaction du journal - un quotidien - s'installe 10, rue du Faubourg Montmartre, dans des locaux miteux, éclairés au gaz. Une fine équioe de jeunes gens tout dévoués entourent le patron. Parmi eux, fidèle entre les fidèles, Gustave Geffroy, qui initiera Clemenceau à la peinture moderne et donnera au journal des critiques d'art de haute volée. Clemenceau fera aussi une place à l'un de ses frères, Albert, Jeune avocat. Tout ce petir monde turbulent, familier, bouillonne de talent et de verve. Le journal devient bientôt le quartier général d'une^extrême gauche romantique.
«Le patron n'a pas le temps d'écrire dans son journal, d'ailleurs il peine pour écrire, mais il donne des indications, définit la lgne politique, lâche des entrefilets au vitriol qui lui font chaque jour un ennemi de plus.
Auguste Toulmouche (1829-1890) - Rosa Caron (1857-1930)
Paris, Musée Carnavalet
Frank Myers Boggs (1855-1926) - Opera, Paris
Col. particular
«Il entretient alors une liaison avec une belle chanteuse wagnérienne, Rosa Caron et on le voit arriver au journal le soir, entre onze heures et minuit, sortante de l'Opéra, "très chic, en habit e cravate blanche,a vec cet air à la blague que connaissent ses familiers [...]. Le patron est de bonne humeur, on va rigoler", disait alors Geoffroy.«On sait peu de chose sur cette liaison. Clemenceau fut toujours un homme secret sur sa vie intime. [...]
2 comentários:
Este post deu-me saudades de Paris.
Também a mim, quando o estava a fazer. :-)
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