... às 21h30, no Coliseu.
«On a beuacoup dit et écrit sur ce ballet [Le Presbytère, rebaptizado Ballet for life] qui depuis dix ans [agora treze] connaît un succès jamais démenti. Quel est le message que vous avez voulu y inculquer?
«[Maurice Béjart -] Les réussites sont des conjonctions de talents et de circonstances. il y a le talent de la musique de Queen que je connaissais peu, que j'ai découverte et qui m'a fascinné, passionné, bouleversé. Il y a le talent de Versace. Il m'a fait beaucoup de très beaux costumes mais là, il a éclaté. Il a réussi son coup en étant à la fois moderne et classique, sobre et délirant. Et puis la compagnie s'est toujours bien sentie dans ce spectacle. Le Presbytère est en réalité le cri d'angoisse d'une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l'amour, en l'occurrence le sida, s'ajoute à celui des guerres multiples qui n'ont cessé dans le monde depuis la fin de la deuxième guerre mondiale! C'est donc à la fois un ballet sur la jeunesse et... sur l'espoir puisque, indécrottable optimiste, je crois malgré tout que "The show must go on" comme le chant Queen. Il est dédié et pensé par rapport à des êtres que j'ai connus et qui sont mort de sida, des hommes qui sont morts trop tôt. C'est por ça qu'il ya mort Mozart. Il n'est pas mort du sida mais il est mort trop jeune. Il y a des artiste sqi sont morts en pleine carrière, en pleine gloire, en pleine force. Dans le ballet, j'évoque de manière évidente, Freddy Mercury, Jorge Donn et Mozart. Trois personnes qui sont mortes à quarante ans au sommet de leur art.»
(Michel Robert - Maurice Béjart, une vie: derniers entretiens. Bruxelles: Luc Pire, 2008, p. 196)
«[Maurice Béjart -] Les réussites sont des conjonctions de talents et de circonstances. il y a le talent de la musique de Queen que je connaissais peu, que j'ai découverte et qui m'a fascinné, passionné, bouleversé. Il y a le talent de Versace. Il m'a fait beaucoup de très beaux costumes mais là, il a éclaté. Il a réussi son coup en étant à la fois moderne et classique, sobre et délirant. Et puis la compagnie s'est toujours bien sentie dans ce spectacle. Le Presbytère est en réalité le cri d'angoisse d'une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l'amour, en l'occurrence le sida, s'ajoute à celui des guerres multiples qui n'ont cessé dans le monde depuis la fin de la deuxième guerre mondiale! C'est donc à la fois un ballet sur la jeunesse et... sur l'espoir puisque, indécrottable optimiste, je crois malgré tout que "The show must go on" comme le chant Queen. Il est dédié et pensé par rapport à des êtres que j'ai connus et qui sont mort de sida, des hommes qui sont morts trop tôt. C'est por ça qu'il ya mort Mozart. Il n'est pas mort du sida mais il est mort trop jeune. Il y a des artiste sqi sont morts en pleine carrière, en pleine gloire, en pleine force. Dans le ballet, j'évoque de manière évidente, Freddy Mercury, Jorge Donn et Mozart. Trois personnes qui sont mortes à quarante ans au sommet de leur art.»
(Michel Robert - Maurice Béjart, une vie: derniers entretiens. Bruxelles: Luc Pire, 2008, p. 196)
2 comentários:
Uma das razões porque alguém se retirou de uma cidade que adora... :)
Foi ontem... e foi uma maravilha
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