«Simon Nora avait en permanence dans sa poche une série de photos montrant le visage atrocement mutilé de ses camarades, tués par les Allemands dans le Vercors. Un jour où... je crois qc'était le premier sécretaire de l'ambassade d'Allemagne, lá demandé au téléphone, il lui a répondu: "Je ne parle pas à un Allemand. - Je vous comprends, monsieur, a dit l'autre. Toute ma famille a péri à Auschwitz."»
Françoise Giroud
In: Si je ments...: conversations avec Claue Glayman. Paris: la Guilde du Livre, 1972, p. 199-200
2 comentários:
Até fiquei arrepiado! São assim os acasos da História e da vida das nações.
Há um tempo para tudo, para odiar e para aceitar os erros da humanidade. Gostei desta leitura!
Boa Páscoa!
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