PENSAMENTO(S) - 161
(...) Et, pourtant, que nous ayons toujours à nouveau faim, que nos désirs ne soient jamais rassasiés, au lieu de rendre la vie dérisoire, est ce qui maintient la vie en cours, en activité; dans sa vitalité; est ce qui la maintient en tension dans de l'entre- entre le désir et la satiété.Or c'est précisément dans cet entre-entre désir et satiété- qu'effectivement on vit.François Jullien, in
Philosophie du vivre, éd.Gallimard, 2011.
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